20 ANS ….BONJOUR LES DÉGÂTS !

 

 Mis en ligne le 13 novembre 2013

Il a perdu ce procès (après tant d'autres) et les masques tombent. Incapable de gérer la commune dans un climat apaisé, il a cherché le conflit, l'intimidation. Mais ça n'a pas marché

Cela en dit long des difficultés que rencontre celui qui est maire de Levens depuis 20 ans. Et qui en reveut !

Mais pour quel bilan ?

C'est un rapide tour d'horizon des questions d'environnement et de cadre de vie que l'association « les Perdigones » a publié dans son journal d'Octobre( VOIR LE JOURNAL).

Les faits sont cruels. Et pourtant quel beau patrimoine que la nature et les anciens nous ont légué sur prés de 3000 ha.

Lorsqu'il est responsable des déchets à feu la communauté d'agglomération il ne prend pas la mesure du problème. Pire il fait combler de déchets incontrôlés un vallon en zone naturelle. Hormis l’atteinte à l’environnement (le vallon surplombe une zone Natura 2000), la perte pour la commune (manque à gagner sur les tarifs de mise en décharge) est évaluée à 1,7 millions d'euros (chiffres 2005).

Et que penser, quelques années après, de la mise à disposition, de l'entreprise « la Sirolaise de Construction » d'un espace sur lequel celle-ci transforme les déchets en matériaux. Pour seulement un loyer de 18 000 euros l'an, l’autorisation porte sur 217 600 tonnes de remblais. C'est pas cher payé les nuisances pour la population ! Une autre affaire portée en justice par neuf contribuables.

Et ce fameux PLU qui fut le « pompom ». On a fait dire aux textes le contraire de ce pour quoi ils sont fait. Sans transparence, avec des documents difficilement lisibles (notamment les cartes présentées en début d'enquête publique)....il est apparu vite que le futur de la commune la ferait définitivement basculer en ville dortoir, d'où notre caricature du dessin de Vert Azur.

A propos de l'affaire « Vert Azur »  il est intéressant de comparer ce que nous écrivions il y a peu (octobre) et ce que dit le jugement.

Et puis un texte revient sur le projet d'immeubles à l'Orte. Un projet bloqué depuis six ans, parce que faire des immeubles là pose de nombreux problèmes. Des problèmes qui ont même conduit le constructeur « La Phocéenne d'Habitation »  à se retirer. Alors pourquoi le maire insiste t'il ? La réponse de l'association, « pour des raisons personnelles » :

            « Certaines de ses « relations » en achetant et revendant des terrains à la collectivité par son entremise ont réalisé une plus value énorme : leur prix d'achat a été multiplié par 15. Or ces terrains étaient censés être sans problèmes, prêts à l'usage. Et bien non ! Ils étaient inondables avant, ils l'étaient après, et le premier magistrat de la commune le savait.

C'est bien là le cœur de l'affaire ; il a engagé les finances publiques avec une légèreté coupable, sur son expertise personnelle, sans la moindre concertation, sans tenir compte de la réalité du terrain. »

 

Ce ne sont que quelques faits pris sur une longue liste. Et ils sont cruels. 

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